La peur du regard des autres
Chaque peur nous appartient, elle nous est personnelle et n’existe que pour nous.
Par exemple tu as peut être déjà rencontré une personne qui a très peur des chiens, ou même toi tu as peur des chiens.
Lorsqu'un chien t’aboie dessus, certains auront comme réaction la peur, d’autres y verront juste un signe de jeux ou autre. Certains seront paralysés, d’autres passeront leur chemin sans même y prêter attention, d’autres essaieront d’obtenir une caresse.
Donc cette peur qui pour certains est réelle et paralysante, est inexistante pour d’autres.
On en a déjà parlé la peur est l’émotion la plus difficile à relativiser et surtout à relationnaliser.
Certaines personnes ont plus de courage que d’autres pour les travailler, les affronter et surtout passer à l’action. On en parlera d’ailleurs dans un prochain épisode.
Le plus important est de prendre conscience de cette peur et de savoir si elle est réelle ou non, y a t’il un danger réel pour mon corps à l’instant où je la vis?
Il y a beaucoup plus de peur irréelle que réelle aujourd’hui.
Par exemple pose toi la question de savoir si ces derniers mois tu as eu peur et si tu as été en réel danger? On exclu bien sur la Covid où tout le monde a cru que c’était la fin du monde. On est d’accord.
Le niveau de stress et de peur généré depuis quelques années maintenant car oui le temps passe vite, on peut maintenant parler du Covid en années. D’ailleurs j’espère que quand tu liras cet article la covid n’existera plus.
Bref du coup il y a les peurs réelles et celles qui sortent de ta pensée et qui sont devenues des croyances.
La peur du regards des autres
peut découler d’une ou plusieurs peurs : celle d’être rejetée, celle de ne pas être aimée, de faire rire de soi, d’être blessée par des propos ou des pensées, celle de ne pas être à la hauteur
(qui rejoint le syndrome de l’imposteur…. )Tu l’auras compris elle peut dépendre de plusieurs situations vécues ou non et de croyances limitantes.
La peur ne se résonne pas, il est inutile de chercher à la vaincre mais plutôt à l’apprivoiser,
et surtout à passer à l’action
pour changer les schémas et pour arriver à avancer avec.
J’aime me dire et au pire il se passe quoi?
Tu as déjà eu un moment de honte vraiment important. Moi ça m’est arrivée pleins de fois car je passe à l’action le plus possible, j’évite de me poser trop de questions avant car avec des ET SI on ne fait que ruminer et je trouve que c’est une perte de temps. On ne pourra jamais palier à tous les ET SI. Du coup pourquoi y consacrer autant de temps. J’ai compris une chose, le temps est ce que tu as de plus précieux
dans la vie, autant éviter d’en perdre et l’utiliser avec le coeur et non la peur, le jugement le questionnement.
Pour se détacher du regard des autres il est important cependant de travailler sur une prise de conscience.
Déjà premier point les autres sont comme toi et moi. Nous sommes les autres pour quelqu’un. Ils vont aux toilettes, il mangent, ils travaillent…
Deuxièmement les autres n’ont peut être pas ton expertise peu importe le domaine, tu ne dois pas te sous-estimer. Nous avons tous une unicité qui fait qui nous sommes. Et même les autres dont tu as peur ont ton expertise, ils ne sont pas toi et tu as certainement une roue a apporter au carrosse.
Dernière chose tu ne pourras jamais empêcher les critiques, moqueries… les gens sont libres de penser et dire ce qu’ils veulent. Cependant la réussite s’atteint en passant à l’action et en sortant de ta zone de confort.
C’est là que tu trouveras la magie et que tu attireras les bonnes personnes.
J’étais très intimidée par le fait de faire des lives ou des story en public. Je suis pourtant professeur de Yoga danse depuis de nombreuses années et j’ai maintenant l’habitude de parler en publique mais dans une salle avec mes élèves que je connais, donc dans mon petit cocon. Quand j’ai commencé à vouloir faire des lives et des story lors du premier confinement ça n’était plus la même histoire car je m’exposais sans maîtriser à qui. Et j’ai beaucoup réfléchis et travaillé sur moi pour me motiver à passer à l’action. Il le fallait c’était le moyen pour moi de faire découvrir le yoga danse. La prise de risque n’a pas été facile, j’ai eu beaucoup de stress et je n’ai d’ailleurs toujours pas regardé ces vidéos. La chose qui est sur, c’est le passage à l’action qui m’a permis de contourner cette peur, du moins de l’apprivoiser.
Quand on veut on peut. C’est difficile au début, puis plus on le fait plus on y arrive.
Alors aujourd’hui je ne dis pas que je ne stresse pas, mais en tout cas ce stress est plus bénéfique, je le maîtrise mieux, et je me dis toujours au pire je regarde pas le live ça limitera la casse.
J’espère que mon expérience te permettra de passer à l’action.
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Dans la pratique du yoga, le souffle est bien plus qu’un simple acte physiologique : c’est une véritable passerelle entre le corps, le mental et l’esprit. Le souffle, ou prāṇa , est considéré comme la force vitale qui circule en nous. Le yoga nous invite à prendre conscience de cette énergie subtile et à l’utiliser comme un outil d’harmonisation intérieure. En effet, le souffle est le pont entre le visible et l’invisible , entre le mouvement et la méditation, entre l’agitation extérieure et le calme intérieur. Dans les textes fondateurs comme les Yoga Sūtras de Patañjali , la maîtrise du souffle est décrite comme un pilier essentiel de la pratique. Le prāṇāyāma est l’un des huit membres du yoga (Ashtanga Yoga), venant après les postures (āsana) et avant la concentration (dhāraṇā). Cela montre à quel point le souffle est considéré comme un chemin de transformation intérieure menant vers l’état méditatif.
Quelque chose de nouveau prend vie dans notre univers.
Un projet que nous construisons avec soin, qui mêle technique, précision et passion du corps en mouvement .
Et au cœur de cette évolution, une pratique qui transforme la relation au corps : le Pilates Reformer . Mais le Reformer, ce n’est pas qu’un appareil.
C’est une expérience à part entière .
Une manière de pratiquer plus fluide, plus ancrée, plus consciente.
Dans cet article, on t’emmène à la découverte de cet outil unique, de ses bienfaits et de ce qu’il change, profondément, dans la pratique du Pilates.
Dans une époque où tout s’accélère, le simple fait de respirer en conscience est un acte révolutionnaire. Avant de parler de postures alignées ou de séquences dynamiques, il y a le souffle .
Toujours présent, discret, souvent oublié… et pourtant essentiel.
Dans la tradition du yoga, le Pranayama est considéré comme l’un des piliers fondamentaux de la pratique, au même titre que les asanas (postures) et la méditation. Mais qu’est-ce que le Pranayama exactement ?
Pourquoi est-il si puissant ?
Et comment l’intégrer concrètement à sa pratique et à son enseignement ?
Dans cet article, on te propose un voyage à travers l’art du souffle , ses bienfaits, ses techniques et son rôle central dans le yoga.
Accueillir un·e élève débutant·e en yoga, c’est bien plus qu’adoucir la pratique ou éviter les inversions.
C’est poser les bases d’une relation de confiance, offrir une expérience positive et accessible, et permettre une vraie rencontre avec le yoga . Car les premières séances laissent une empreinte durable : elles peuvent ouvrir la voie à une pratique régulière… ou la refermer brutalement si l’élève ne se sent pas à sa place.
En tant que professeur·e, tu as le pouvoir d’offrir un cadre rassurant et inspirant. Dans cet article, on explore les grands piliers d’un cours bien pensé pour débutants : l’état d’esprit, la structure, les erreurs à éviter, et des conseils concrets pour transmettre avec clarté, patience et bienveillance.
Et si on arrêtait de se disperser ? Entre les injonctions à manger sain, bouger plus, méditer, mieux respirer, mieux dormir, prendre du temps pour soi… on ne sait plus par quoi commencer. OMÉA est née de cette prise de conscience : aujourd’hui, on a besoin d’une méthode simple, cohérente, et surtout globale. Une méthode qui reconnecte le corps, l’esprit et le souffle dans une seule et même dynamique. 100% GRATUIT
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Dans l’univers du yoga, on croit souvent que tout repose sur les postures et la respiration. Pourtant, un élément fondamental est souvent oublié : l’anatomie. Car derrière chaque mouvement se cache un corps vivant, complexe et unique. Que vous soyez pratiquant passionné ou professeur en devenir, comprendre le corps humain change tout : vous pratiquez en conscience, vous enseignez avec précision, et surtout, vous transmettez avec bienveillance.
Une séance de yoga ne se termine pas simplement par un dernier asana ou un "Namaste".
Elle s’achève — ou plutôt, elle s’intègre — à travers ce moment si particulier : la relaxation finale , aussi appelée Savasana, retour au calme ou repos conscient. Ce moment n’est pas anodin. C’est un véritable espace de transformation subtile , où le corps assimile, où l’énergie se dépose, où le mental se relâche.
Et c’est la qualité de la guidance qui va déterminer la profondeur de ce relâchement.
Dans l’univers du bien-être et de la conscience corporelle, le yoga et le Pilates tiennent une place de choix. Ces deux disciplines sont de plus en plus pratiquées dans les studios, les centres de remise en forme et même à la maison. Pourtant, nombreuses sont les personnes qui les confondent ou s’interrogent :
Est-ce la même chose ? Lequel choisir ? Peut-on les combiner ? Dans cet article complet, découvrons ensemble : - leurs différences, - leurs points communs - et surtout leurs formidables complémentarités .
Enseigner le yoga, ce n’est pas simplement guider des asanas ou corriger des postures. C’est incarner un rôle subtil et puissant, une forme de présence qui va bien au-delà de la pédagogie technique. C’est un engagement personnel, une posture intérieure , physique, mentale, émotionnelle, relationnelle et éthique. La posture d’enseignement , c’est ce qui donne du sens à votre présence en tant que professeur. C’est ce qui relie votre parcours personnel à votre rôle de guide. Elle ne s’imite pas : elle se découvre, se façonne et s’affine au fil du temps, de la pratique et des rencontres.